Les photos avaient été prises au téléobjectif alors que le duchesse de Cambridge et son homme, le prince William, prenaient un bain de soleil sur la terrasse d’un luxueux domaine du Luberon, le château d’Autet, propriété du vicomte Linley, neveu de la reine d’Angleterre.
« Leur mot d’ordre : vacances j’oublie tout, la grisaille londonienne, et même le maillot de bain resté dans la valise de l’altesse », commentait à l’époque l’hebdomadaire people.
Dans la foulée, Kate Middleton et le prince William avaient obtenu de la justice civile française l’interdiction de la cession et de toute nouvelle diffusion des photos litigieuses.
Une plainte avait en parallèle été déposée.
Et ce 2 mai, Laurence Pieau, directrice de la rédaction de Closer, Ernesto Mauri, président du groupe de presse Mondadori, propriétaire du titre, et deux photographes d’une agence parisienne soupçonnés d’avoir pris les photos "topless", Cyril Moreau et Dominique Jacovides, devront répondre d’atteinte à l’intimité de la vie privée et de complicité.