Le magazine "Closer" a révélé en 2019 que Brigitte Macron avait été hospitalisée pour une intervention de chirurgie esthétique, une décision approuvée indirectement par Julie Gayet qui n’hésite pas à passer sous le bistouri.
Julie Gayet s’est confiée dans les pages de « Grazia », occasion de clamer son indépendance, en dépit de son statut de première-dame officieuse.
« Toute ma vie, j’ai voulu une indépendance, ne pas être définie par rapport à ça : être femme », commente la comédienne de 43 ans qui partage la vie du président de la république depuis près de trois ans.
« Mais je ne vais pas non plus contre ça, je suis de la génération qui s’est méfiée d’un certain féminisme qui était devenu purement vindicatif à l’usure du temps. Ma génération a d’abord voulu regagner en féminité. Réinventer son féminisme, réinventer sa place », glisse-t-elle ensuite.
Et d’ajouter, fière : « On remarque, sur les plateaux, qu’il y a de plus en plus de femmes au son, à l’image et de femmes chefs opérateurs ou machinos femmes. Des secteurs autrefois totalement réservés aux hommes ».
La compagne de François Hollande se réjouit par ailleurs que le regard sur les actrices ait changé.
« Le regard sur les actrices a changé. Quand je repense à ce qu’on disait aux filles qui démarraient dans les années 1990 : ne jamais jouer de rôle de fille bourrée, ça pourrait nous stigmatiser ou nous salir ! » a rappelé celle qui fait cette semaine la Une du magazine « France Dimanche » qui évoque un mariage secret.
« Comme actrice, mon but était de me plonger dans la tête du metteur en scène, de comprendre son fantasme, son monde. Adopter ce point de vue pour qu’on arrive à s’entendre, à raconter la même chose. Producteur c’est ça, pour moi. Traduire le point de vue d’un cinéaste », explique au passage celle qui dirige d’une main de maître sa société Rouge International.
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