Le journaliste s’est confié lors d’un entretien accordé à « Planet » où il évoque la relation entre les deux femmes, et suppose qu’elles ont signé une sorte de pacte de non agression.
« Ségolène Royal a très vite compris que le ‘tout sauf Valérie Trierweiler’ lui serait profitable. Elle a aussi rapidement pris conscience que Julie Gayet ne serait peut-être pas une ‘alliée’ mais que c’était une femme intelligente et qu’elle pourrait en tirer quelques avantages », précise François Aubel.
Julie Gayet a en effet montré « qu’elle savait s’imposer en douceur sans entrer bille en tête dans la vie de François Hollande ni ingérer dans sa relation avec la mère de ses enfants ».
« On dit souvent que le président a été traumatisé par Valérie Trierweiler, mais Ségolène Royal l’a été également », précise-t-il par ailleurs.
Valérie Trierweiler aurait « agi comme un ouragan dans sa vie, installant un cordon sanitaire entre François Hollande et son entourage ».
« Prise d’une peur panique, elle refusait que l’actuelle ministre de l’Ecologie s’approche de lui ! Aussi, quand François Hollande a rompu avec Valérie Trierweiler pour se mettre avec Julie Gayet, Ségolène Royal a fait en sorte d’instaurer une paix sociale. C’était presque une nécessité ».
*François Aubel est co-auteur d’ Une intermittente à l’Elysée (éd. Du Moment)