Un an et demi après l’ officialisation de sa -relation ?-avec François Hollande , le cœur de Julie Gayet est supposée « battre pour un autre homme ».
C’est du moins ce qu’affirme le magazine « France Dimanche » dans son numéro du 18 mars dont la Une est consacrée à la première-dame officieuse.
« Un homme, qui n’est pas le chef de l’État ?! Celui qui l’a bouleversée, qui a touché son âme, s’appelle Denis. Il a 61 ?ans. C’est un médecin. Ils ont beaucoup en commun, puisque, comme elle, c’est un défenseur des droits humains », indique la publication.
Il y est surtout fait référence à la participation de Julie Gayet à la « semaine autour des femmes », organisée par le collectif 1 001 femmes avec le cinéma Le Majestic de Jaux, près de Compiègne.
La première-dame officieuse qui est également marraine de l’association « Fonds pour la santé des femmes (FSF) », était aussi sur place pour défendre un documentaire signé Thierry Michel et Colette Braeckman, « L’homme qui répare les femmes – La colère d’Hippocrate ».
Il s’agit du gynécologue Denis Mukwege, devenu célèbre pour être venu en aide aux milliers de femmes violées dans l’est de la République du Congo.
« Un homme absolument merveilleux, humainement incroyable, confiait Julie Gayet lors de cette soirée. Non seulement, il vient en aide à ces femmes mutilées, mais il soigne leur âme. Son combat m’a bouleversé et j’ai eu envie de l’accompagner. Il faut défendre ce film ».
La compagne de François Hollande a rencontré personnellement le docteur Mukwege, prix Sakharov 2014.
Pour France Dimanche, cet homme aurait « fait battre son coeur ».
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