Julie Gayet est à l’honneur dans les colonnes de ’Public’, qui évoque non pas sa relation avec François Hollande, mais son récent séjour à Bruxelles, où elle a été charriée par François Damiens.
’François Damiens & Julie Gayet ! François Hollande doit bien se marrer’, titre le magazine people dans son édition du 13 février.
Lors de la cérémonie des Magritte du Cinéma belge, Julie Gayet portait des chaussures dépareillées, rapporte tout d’abord l’hebdomadaire, avant de rappeler que c’est sans doute une ’ manière de rendre hommage à Pierre Richard- qui recevait ce soir là, un prix d’honneur- , et à l’un de ses films cultes, ’Le Grand blond avec une chaussure noire’.
Dans la foulée, la comédienne s’est ’faite charrier par François Damiens’, poursuit ’Public’, qui relaye un gentil tacle de l’acteur belge.
’Merci à Julie Gayet de nous avoir fait honneur de venir malgré un agenda de ministre’, a-t-il lancé, allusion à son idylle avec le chef de l’État.
Bref, ’c’était la soirée des grosses blagues’, commente ’Public’.
Outre dans ’Public’, Julie Gayet est également à l’honneur dans ’Closer’, qui l’affirme sous protection rapprochée en raison de sa relation avec François Hollande.
Cette protection est jugée normale par un ex inspecteur de la police nationale, René-Georges Querry, interrogé par BFMTV.
‘Cela ne me surprend pas que Julie Gayet soit protégée, d’ailleurs par un dispositif très fragile et très faible’, note René-Georges Querry.
‘Tout le monde sait aujourd’hui qu’elle est très proche du président de la République, il est donc quand même logique qu’il y ait un peu de sécurité autour d’elle, car elle peut être une cible pour atteindre le chef de l’Etat, et d’une certaine façon, la France’, précise-t-il. ‘Elle est quand même aujourd’hui le prolongement naturel de François Hollande, même s’il n’y a pas, semble-t-il, de lien officiel’.
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