En ce jour d’anniversaire, François Hollande et Julie Gayet créent l’événement avec la vente de leur luxueuse résidence parisienne !
Julie Gayet aurait apprécié que François Hollande évoque leur relation dans « Un président ne dirait pas ça », sorti il y a quelques jours.
« En acceptant de l’évoquer dans son livre, François Hollande lui offre d’avancer un peu jusqu’au devant la scène », commente le magazine « Gala ».
Si le président de la république a évoqué pour la première fois cette relation, ce serait pour éclaircir leur relation auprès des français, explique de son côté le politologue Jean-Daniel Levy.
« c’est dans son intérêt de clarifier la situation car les français peuvent avoir l’impression qu’il a du mal à dire les choses franchement et qu’il est une personnalité esseulée, très peu entourée », précise le politologue Jean-Daniel Levy.
Quoiqu’il en soit, la première-dame officieuse a apprécié que le président de la république évoque enfin leur idylle.
Julie Gayet « n’a pas dit non à ce timide pas de deux. Elle savoure ce moment avec une élégante discrétion », est-il indiqué.
Pour autant, le chef de l’Etat n’aurait pas pour objectif d’officialiser sa relation avec Julie Gayet, affirmait son fils Thomas Hollande dans les pages de « Conversations privées avec le président », écrit par le duo Karim Rissouli et Antonin André.
Interrogé sur l’éventualité que le chef de l’Etat officialise cette idylle en 2017, à l’occasion de la campagne présidentielle, le jeune avocat prétendait que son père a adopté une posture radicalement différente.
« Il ne sera pas un président en couple qui fait campagne, glisse-t-il. Ce célibat revendiqué, il en fera même un axe de campagne : « Moi, je suis dédié totalement à la fonction. Je suis totalement consacré à ma mission ».
Thomas Hollande explique par ailleurs que le célibat du président de la république change énormément de choses.
« Il n’y a pas de pression, pas d’obligation. Il n’a pas de comptes à rendre, pas quelqu’un dont il doit s’occuper. Il ne veut plus de contraintes autres que celles de sa fonction », explique le jeune avocat.
« Dans les voyages officiels, au-delà de la personnalité de Valérie, il devait gérer énormément de contraintes liées au programme de la première dame. Lui souhaitait se consacrer pleinement à la politique et on le ramenait sans arrêt à ce qu’elle faisait », a lâché le fils du président de la République.
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