Johnny Depp a peut-être été recadré par son ex, Vanessa Paradis, qui lui aurait sans doute reproché dans le passé son attitude envers la France.
Désormais, l’acteur de 52 ans toujours en pleine promotion de son dernier film « Strictly Criminal » est intarissable sur le pays de naissance de sa fille ainée.
Il n’entend d’ailleurs pas mettre sur le marché sa propriété varoise de Plan-de-la-tour comme il le rappelle lors d’un entretien avec « France Dimanche ».
« C’est un endroit qui m’est cher, j’y ai vu grandir mes enfants. Je ne pense pas que je puisse m’en séparer un jour, et ce pour une raison simple, quand je ne serais plus que cendres et poussière, j’aimerais que eux aussi y voient grandir leurs enfants », a-t-il indiqué.
En trois ans, l’acteur a changé d’attitude envers la France, chargée il y a trois ans dans les colonnes du quotidien britannique « The Guardian », où il déclarait ne pas être intéressé par une carte de résident permanent en France, de peur de payer trop d’impôts.
« J’aimerais bien (rentrer aux États-Unis, ndlr) », expliquait Johnny Depp quelques mois avant l’officialisation de sa séparation d’avec Vanessa Paradis.
« Parce que la France veut un morceau de moi. Ils veulent que je devienne résident permanent. Et le statut de résident permanent change tout. Ils veulent juste… le fric, l’argent », avait lancé l’acteur américain.
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