Johnny Depp, sa carrière tourne mal à cause son alcoolisme selon Voici

« Johnny Depp, lui, va très mal. Entre ses abus d’al­cools, ses excès de rage et ses pétages de plomb, l’ac­teur était ingé­rable sur le plateau de Pirates des Caraïbes », indique le magazine people dans son numéro du 19 mai.

« Le caractère instable de Johnny dont les démons liés à l’alcoolisme semblent avoir refait surface dès novembre 2014, juste quelques mois avant le tournage qui débuta en février 2005 et dura jusqu’en juillet », indique Voici.
Si la production défend l’acteur de 53 ans, certaines sources n’ont pas cette discrétion et ne se pas privent de balancer sur l’acteur.

« il apparaissait régulièrement bourré sur le plateau. Comme il n’était pas en état d’apprendre son texte, il aurait même payé un ingénieur chargé lui souffler ses répliques via une oreillette », indique au passage Voici.

En avril dernier, le magazine Gala affirmait déjà que ça n’allait pas fort pour Johnny Depp, deux mois après sa dernière apparition aux People’s Choice Awards.

L’acteur s’était rendu à l’anniversaire de Lady Gaga au restaurant Gjelina à Venice Beach en Californie.
« Joues creuses et teint blafard, l’acteur avait une petite mine. Il a désormais deux mois pour se refaire une santé avant d’attaquer la tournée promotionnelle du cinquième volet de la saga « Pirates des Caraïbes », programmé sur nos écrans pour fin mai.

Ce n’est pas la première fois que le héros de « Pirates des Caraïbes » s’affichait aussi filiforme.

Ce fut déjà le cas en 2013, juste après l’implosion de son couple avec Vanessa Paradis, la mère de ses deux enfants.
A l’époque, « Voici » avait alimenté un
« burn out ».

« Teint en blond, visage émacié très cerné malgré le maquillage, sourire forcé, l’acteur n’arborait pas la forme des grands jours », rapportait le magazine, qui évoquait une dépression.

Quoiqu’il en soit, Johnny Depp pourrait compter sur Vanessa Paradis qui garde un oeil sur lui croit savoir « Celeb Dirty Laundry », qui reprend une rumeur colportée par « RadarOnline », prétendant que la française se rendrait le plus souvent possible à Los Angeles, et parfois jusqu’à deux fois par mois lorsque son emploi du temps le lui permet.