Des relations de Gad Elmaleh avec les femmes et l’argent, Closer y revient longuement dans les colonnes de sa dernière édition, où les confidences livrées par l’humoriste ont été relayées.
’Je considère que donner la moitié de ce que je gagne est normal (...) c’est une manière de participer’, avait notamment confié le pote de Jamel Debbouze lors d’un entretien avec le magazine ’Optimum’, en 2012. ’J’ai toujours peur de manquer’, précisait-t-il par ailleurs.
’C’est mon problème. Par exemple, c’est impossible de sortir de chez moi, sans un billet dans la poche. Impensable’, glisse le fiancé de Charlotte Casiraghi.
Euh... Je voudrais de l’aspirine svp #BienvenueEnAmerique pic.twitter.com/n8MRKZ7FQQ
— Gad Elmaleh (@gadelmaleh) https://twitter.com/gadelmaleh/status/602452106486927360
">24 Mai 2015
’C’est au delà de la prévoyance, ça fait partie de moi’, indiquait celui qui profité de son passage dans C à Vous pour régler ses comptes avec les journalistes du Monde, qui l’avaient accusé d’évasion fiscale.
‘On n’est plus dans la blague. En gros, on met ‘fraude fiscale’, et en petit dans l’article, on explique que ça a été régularisé, que c’était de l’argent imposé en France, que c’était 80.000 euros… Il y a un truc un peu malhonnête, un peu malsain, un peu pervers, pour faire parler de l’article. D’ailleurs si je n’étais pas cité, vous n’auriez pas parlé de l’article’. Gad Elmaleh a estimé que Le Monde est devenu un journal people. ‘Je n’ai aucune leçon de morale à recevoir d’un journal qui verse dans la peopolade (…) Grâce à moi, ils ont vendu pas mal de journaux cette semaine-là. Ça suffit. Qu’ils me laissent tranquille’.
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