DSK incarne la fin de la révolution sexuelle estime Frédéric Beigbeder dans un portrait consacré par ’Le Nouvel Observateur’ à l’ex patron du Fonds Monétaire International.
Pour l’occasion, un parallèle et même dressé entre l’ex d’Anne Sinclair et l’État Islamique.
’Si j’écrivais un livre sur DSK, ce serait pour le défendre’, affirme l’écrivain, avant de préciser les raisons pour lesquelles, il prendra toujours la défense de l’ex ministre des finances.
Parce qu’il ’incarne la fin de la révolution sexuelle’, affirme l’écrivain et animateur.
Les critiques et les attaques dont DSK a été la cible suite à son implication dans l’affaire du Sofitel démontre, qu’’au début du XXIe siècle, l’Occident a refermé la parenthèse de liberté ouverte après la Seconde Guerre mondiale’.
’Mon roman se serait achevé sur cette question : et si la guerre suivante était commencée ? Imaginez que tout ne se réduise qu’à une alternative simple. Vous devez choisir votre camp. Que préférez-vous : DSK ou l’État islamique ?’, s’interroge Frédéric Beigbeder, qui a bien évidemment choisi son camp.
Sur un tout autre registre, Frédéric Beigbeder confiait cette semaine avoir complètement pété les plombs après le succès de son livre « 99 Francs » sorti en l’an 2000.
« Le succès rend con. Oui, c’est vrai ! C’était en l’an 2000 ?, confie sur France Info l’animateur avant de revenir sur son pétage de câble après le succès de son livre ’99 Francs’, qui s’est écoulé en quelques semaines à 500 000 exemplaires.
‘J’ai complètement pété les plombs. Je suis devenu le héros du livre, j’ai essayé d’imiter Octave, un publicitaire complètement défoncé qui passe sa vie en boîte de nuit. Au lieu d’être moi-même, j’étais devenu un personnage de roman’, se rappelle-t-il.
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