Une fois que Gad Elmaleh se décidera enfin à demander sa compagne Charlotte Casiraghi en mariage, celle-ci se fera une joie de signer les registres avec une plume « Montblanc » dont elle est désormais l’égérie.
C’est ce que glisse le magazine « France Dimanche » dans son édition du 23 janvier, où il est question des ’ fiançailles surprises’ de la fille de Caroline de Monaco avec la firme allemande « Montblanc », spécialisée dans la maroquinerie, bijouterie/joaillerie et parfumerie.
« Enfin ultime avantage, pour Charlotte, de ce fiançailles de luxe : si demain, Gad lui demande sa main et qu’elle lui répond ’oui’, elle pourra s’offrir le plaisir de signer les registres des mariages avec la plume en or de son stylo Montblanc », a glissé le magazine people qui avait alimenté en novembre dernier le mariage du couple.
Ces rumeurs avaient à l’époque été mises en doute par « Paris Match » et « Bunte » qui assurent les deux amoureux allergiques à l’institution du mariage.
« Paris Match » avait rappelé à cette occasion, que Charlotte Casiraghi est surtout « une adepte de la liberté », inspirée en cela par « sa mère et sa tante ».
« Comme sa mère Caroline ou sa tante Stéphanie, c’est en femme libre, sans que son union ait été officialisée devant un maire ou consacrée devant dieu, que Charlotte devient mère. Faisant fi des pesanteurs protocolaires, cette naissance détonne dans un milieu à priori conservateur », a commenté l’hebdomadaire avant de poursuivre : « Cela ne rend Charlotte que plus moderne ».
ue Gad Elmaleh se décidera enfin à demander sa compagne Charlotte Casiraghi en mariage, celle-ci se fera une joie de signer les registres avec une plume « Montblanc » dont elle est désormais l’égérie.
C’est ce que glisse le magazine « France Dimanche » dans son édition du 23 janvier, où il est question des ’ fiançailles surprises’ de la fille de Caroline de Monaco avec la firme allemande « Montblanc », spécialisée dans la maroquinerie, bijouterie/joaillerie et parfumerie.
« Enfin ultime avantage, pour Charlotte, de ce fiançailles de luxe : si demain, Gad lui demande sa main et qu’elle lui répond ’oui’, elle pourra s’offrir le plaisir de signer les registres des mariages avec la plume en or de son stylo Montblanc », a glissé le magazine people qui avait alimenté en novembre dernier le mariage du couple.
Ces rumeurs avaient à l’époque été mises en doute par « Paris Match » et « Bunte » qui assurent les deux amoureux allergiques à l’institution du mariage.
« Paris Match » avait rappelé à cette occasion, que Charlotte Casiraghi est surtout « une adepte de la liberté », inspirée en cela par « sa mère et sa tante ».
« Comme sa mère Caroline ou sa tante Stéphanie, c’est en femme libre, sans que son union ait été officialisée devant un maire ou consacrée devant dieu, que Charlotte devient mère. Faisant fi des pesanteurs protocolaires, cette naissance détonne dans un milieu à priori conservateur », a commenté l’hebdomadaire avant de poursuivre : « Cela ne rend Charlotte que plus moderne ».
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