C’est une Charlotte Casiraghi toute gracieuse qui a fait une apparition avec sa tendre mère, la princesse Caroline, toujours aussi sublime. Et il se dit que celle-ci allait se faire plus discrète.
Après avoir été longtemps victime de la pression médiatique, Caroline de Monaco est laissée tranquille. C’est sa fille Charlotte Casiraghi qui doit désormais composer avec cette médiatisation.
C’est ce que la princesse du Rocher rappelle dans les pages du magazine Vogue, où elle se livre longuement.
« Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise, il y a beaucoup de gens qui parlent trop, qui piaillent, alors c’est peut-être pas mal que d’autres gardent le silence, non ? », répond-t-elle lorsque la journaliste l’interroge sur les raisons pour lesquelles elle fait montre discrétion.
« De l’âge de 14 ans à l’âge de 30 ans et plus, j’ai plutôt l’impression qu’on me détestait. Et je me disais : “Mais si on me déteste autant, qu’on me fiche la paix, glisse-t-elle ensuite. Et si c’est toujours pour dire des choses désagréables, horribles ou méchantes, qu’on me laisse tranquille. Je n’ai rien demandé à personne ! ».
« Je pouvais être assez agressive. Mais ce sont de vagues souvenirs. Il ne faut pas s’attarder sur ce genre de choses », fait ensuite savoir Caroline de Monaco, qui se réjouit d’être enfin laissée tranquille.
« On me fiche une paix royale. Enfin, de temps en temps, on me signale des trucs, mais bon. La règle, c’est de ne jamais lire un journal où il est question de vous. Car même si on est armé, ce n’est jamais drôle », confie-t-elle.
Et à Vogue de rappeler qu’aujourd’hui, c’est sa fille, Charlotte Casiraghi, qui attire l’attention des médias, ce que l’ex de Gad Elmaleh regrette.
« Ce qui me pose problème, c’est le fait que je puisse être à tout moment observée, scrutée dans ma vie intime. Je me sens atteinte dans ma liberté », dit-elle.
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