La relation tumultueuse entre Gad Elmaleh et Charlotte Casiraghi au sujet de leur fils Raphaël fait encore parler d’elle. Après le magazine Voici, c’est au tour de Intimité Dimanche.
Même si Gad Elmaleh ne cite que très rarement Charlotte Casiraghi dans la presse française, l’ombre de celle-ci est cependant toujours bel et bien pesante.
C’est ce qui en découle de son entretien avec le ’Bien Public’, dans le cadre de la promotion de son spectacle ’Sans Tambour’ et de son documentaire sur Canal Plus, où il est question des coulisses de sa tournée américaine.
Pour l’occasion, Gad Elmaleh confirme qu’il lui a fallu être très loin pour apprécier ce qu’il a en France, en évoquant son expérience de stand-up aux USA, dans les comedy clubs.
Au détour de ses confidences, l’humoriste semble faire allusion à la maman de son bout de chou.
’Parfois, il faut aller très loin pour se sentir au plus proche et apprécier ce que l’on a. Sinon, je citerai saint Augustin, ce que je fais très rarement (rires), pour dire que, “le bonheur, c’est de continuer à désirer ce que l’on possède déjà”.? », confie-t-il.
Gad Elmaleh confirme en outre les difficultés de son expérience américaine.
’Intéressante, très excitante, mais pas facile. Je me suis rendu compte à quel point c’était une chance d’avoir un public, d’être aimé. Une fois qu’on a fait notre carrière, qu’on est connu, que l’on remplit des salles, on ne s’en rend pas compte’, dit-il.
’Quand tu vends 5 ?000 tickets ici où là, tu t’ha-bi-tues et tu dis juste “ah oui, ok”. T’arrives aux États-Unis, tu joues devant des Américains, il y a douze personnes, peut-être quatorze. Tu dis “mais ils sont où les gens ??”, tu réfléchis différemment et puis t’apprécies ce que tu as, près de toi, en France’, reconnaît le pote de Jamel Debbouze.
Ces articles devraient vous intéresser :