Charlotte Casiraghi émotive et timide maladive ? La version allemande de Gala s’interroge

24 janvier 2017 - 21h20 - Télévision - Ecrit par : Rédaction LeGossip

A la mi-janvier, Charlotte Casiraghi avait été repérée à son arrivée à Nice, téléphone collé à l’oreille et semblant absorbée par une passionnante conversation.

Ces clichés dévoilés par la presse italienne ont été commentés cette semaine par la version allemande du magazine « Gala », qui nous dépeint la fille de Caroline de Monaco sous un mauvais jour.

Elle serait émotive, timide maladive. « Charlotte Casiraghi, 30 ans, semble désespérée. Et cela est non seulement en raison du grand manteau, qu’elle a combiné ce jour-là avec un col roulé noir et un pantalon serré. (…) En fait, la fille aînée de la princesse Caroline ne semble pas encore avoir trouvé une place dans la vie », commente la publication, qui évoque ensuite une autre rencontre, qui avait eu lieu à Monaco, à l’occasion des rencontres philosophiques, initiées par la jolie brune.

« Avant que la discussion commence, elle se met à genoux sur le sol et griffonne quelque chose sur un morceau de papier déchiré rapidement », indique une source.
« Son discours est rare et quelque peu maladroit. Elle appelle un intervenant (…) et disparait rapidement de la scène pour se faire oublier sur une chaise ».

Le magazine « Elle » de son côté est moins catégorique et semble avoir mieux cerné la personnalité de l’ex de Gad Elmaleh.

« Elle a ce complexe de ceux qu’on attend au tournant, la peur de l’erreur, non pas de l’échec, un perfectionnisme qui l’inhibe, la retient. Elle ne s’en vante pas ; c’est une fatigue que de se contraindre à la perfection, pour s’assurer de sa valeur », indiquait la publication. « Et l’exigence remonte à loin : une histoire la précède, et cette dialectique de l’image n’est pas née avec elle, sa mère, sa grand-mère lui ont tracé la voie, la victoire serait celle de la légèreté, elle semble l’avoir conquise… Une histoire qui convoque les fantasmes et les rêves, les projections et les fictions, une histoire qu’on vit de l’intérieur, et que l’extérieur transforme en objet de consommation ».

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