Si le mariage de Charlotte Casiraghi et du producteur Dimitri Rassamvenait à se terminer par un divorce « civil », pour l’Église, ils resteront toujours liés par les liens sacrés du mariage.
Une situation qui rappelle celle de sa mère, la princesse Caroline de Monaco, dont la séparation avec le prince Ernest-August de Hanovre n’a jamais été suivie d’un divorce, même une décennie après leur rupture.
La raison de ce statu quo serait liée à la religion, selon la version allemande du magazine "In Touch".
Pour l’Église catholique, le mariage est un sacrement indissoluble. En cas de séparation, un remariage civil est considéré comme un grave péché. Les mariés séparés sont ainsi réputés inaptes à contracter un nouveau mariage tant que leur premier conjoint est en vie.
Cette règle découle des enseignements du Nouveau Testament, qui interdisent la répudiation et le remariage. Ainsi, même si Charlotte Casiraghi, membre d’une famille régnante dont la religion officielle est le catholicisme, devait divorcer du père de son petit Balthazar, elle ne pourrait pas se remarier selon les principes de l’Église.
Sa mère, la princesse Caroline en est un témoignage. Pour épouser le prince Ernest-August de Hanovre, elle avait dû annuler son premier mariage, une procédure qui aurait duré près d’une décennie.