Lorsqu’elle n’est pas en soirée mondaine, Charlotte Casiraghi troque ses vêtements sophistiqués pour un jean-chemise-baskets, rappelle Vanity Fair.
« Sur la table, le livre qu’elle est en train de lire – Le Pas gagné de l’amour du philosophe Paul Audi – une bière et son paquet de fines cigarettes », précise ensuite le mensuel qui consacre un dossier à la fille de Caroline de Monaco, qui a à coeur de défendre Les rencontres philosophiques, qu’elle a lancées en 2015.
« Penser que j’organise ces rencontres pour m’émanciper, cela revient à parler de moi comme d’un petit enfant qui aurait besoin de trouver une occupation pour s’affirmer. Je ne cherche pas à être mieux perçue grâce à la philosophie. Je fais toujours des choix de passion, d’authenticité, qui correspondent à ce que je suis profondément. Une de mes phrases préférées, c’est celle de Nietzsche : “Les convictions sont des prisons.” », explique la jolie brune.
Pour elle, la philosophie, c’est tout sauf une lubie. « Je ne cherche pas à être mieux perçue grâce à la philosophie. Je fais toujours des choix de passion, d’authenticité, qui correspondent à ce que je suis profondément ».
Avec le temps, elle est devenue la cible privilégiée de la presse à scandale. Mais elle a trouvé la parade et choisi de se faire plus rare encore : « Je pense surtout que de ne pas tour révéler de soi constitue une forme de savoir-vivre. On vit aujourd’hui dans une société de l’obscénité, de la mise en scène de soi, mais on ne peut pas être dans une transparence absolue en permanence. ».
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