Contrainte de poser ses valises dans un appartement situé à quelques centaines de mètres du Palais princier actuellement en rénovation, Charlène de Monaco a vécu cet épisode comme un déchirement, rapporte « Ici Paris ».
L’ex nageuse a mis au monde le 12 décembre dernier des jumeaux, Jacques et Gabriella, qu’elle s’est fait une joie de présenter au monde le 7 janvier, une journée également marquée par l’attentat contre « Charlie Hebdo ».
Et dans la foulée, la princesse aurait été forcée de quitter le palais dont les appartements privés sont actuellement en rénovation.
« Ces complications ont sans doute heurté la sérénité nécessaire à un début de maternité. Surtout avec des jumeaux. Cependant, son mari, soutenu par l’intendant, a été clair : les bébés ne peuvent pas rester dans les appartements privés du palais princier ! A peine nés, on doit trouver pour eux et pour leur mère, un nouveau toit », poursuit l’hebdomadaire.
Cette décision aurait chamboulé la jeune maman, qui espérait « vivre pleinement et librement sa maternité, sans diktat ni contrainte. « Même si elle se fait aider par trois nounous », il n’est pas question d’être assistée en permanence, en mode Sissi L’impératrice », ajoute la publication.
Ce que l’épouse du prince Albert de Monaco voulait surtout, c’est de « profiter à fond de son rôle de maman, et vivre tous les instants bénis de ses nourrissons », même s’elle savait « qu’elle sera rattrapée par le protocole et les obligations dues à son rang ».
Aussi, la princesse a « éprouvé une angoisse » lorsqu’on lui a appris qu’elle ne pourra pas mettre « les pieds au palais durant plusieurs mois ».
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