Charlène de Monaco fracassée, une décision pour Gabriella ne passe pas
Charlène de Monaco a célébré les huit ans de ses jumeaux, Gabriella et Jacques, avec leur père, le prince Albert. Une belle unité familiale a été affichée.
Charlène et Albert de Monaco, le drame qui brise leur couple dans France Dimanche
Charlène et Albert de Monaco apparaissent en Une de France Dimanche, qui affirme leur bonheur brisé par un drame.
« L’accident qui s’est déroulé sous les yeux de la princesse Charlène, à l’intérieur du palais, a été un terrible choc pour le couple », indique le magazine people dans son numéro du 10 mars.
L’accident dont il est question a été révélé par la princesse elle-même dans les pages de Paris Match, où elle se livrait la semaine passée.
Charlène de Monaco reconnaissait qu’élever des jumeaux n’est pas une mince affaire. « c’est du sport ! », disait-elle.
Malgré les difficultés, hors de question pour l’épouse du prince Albert d’être éloignée d’eux.
« Je peux passer des heures à les regarder jouer. Ils sont adorables et inépuisables, ce qui me laisse parfois épuisée », concédait la jeune maman en parlant de ses jumeaux, Jacques et Gabriella, qui ont célébré en décembre dernier leur premier deuxième anniversaire.
« C’est un âge incroyable, où ils vous réclament sans arrêt. Vivre loin de moi semble pour eux inimaginable. Ils veulent tout savoir, tout comprendre, me posent des milliers de questions. Ils veulent aussi tout essayer. Et se cognent tout le temps… L’autre jour, Gabriella s’est fait une énorme bosse » expliquait la princesse. Tandis que je la soignais, j’ai vu Jacques marteler de ses petits poings serrés le bureau sur lequel elle s’était précipitée tête la première en criant ‘Méchante table’’.
Cette dernière confidence est l’accident dont il est question dans France Dimanche.
« Dans ces cas là, tous les parents le savent, celui qui est absent au moment de l’accident à tendance à le grossir démesurément, ce qui augmente encore sa peur rétrospective », commente le magazine people.
Heureusement, le prince Albert, homme « intelligent et raisonnable » ne s’est pas « précipité sur Charlène pour la traiter de mère indigne ».
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