En entretien avec « People », le prince Albert de Monaco s’est livré sur le cadeau qu’il entendait offrir à sa femme, Charlène de Monaco, et à ses jumeaux, Gabriella et Jacques, à l’occasion des fêtes de Noël.
Charlène et Albert de Monaco sont « aux prises avec la mafia » rapporte France Dimanche dans son numéro du 2 décembre.
« corruption, pot-de-vin, blanchiment, le procès qui s’est ouvert lundi, à Marseille, devrait lever le voile sur un véritable scandale », indique l’hebdomadaire people, qui fait référence à l’affaire de la tour Odéon de Monaco, qui impliquerait des membres supposés de la camorra, la mafia italienne.
Au tribunal correctionnel de Marseille s’est ouvert lundi le procès de onze prévenus pour corruption et blanchiment dans l’affaire de la tour Odéon de Monaco.
Et parmi les mis en cause, un maire, des promoteurs immobiliers, une veuve. Et un certain Lino Alberti, entrepreneur à Monaco, et ami de longue date de Giovanni Tagliamento, présenté comme un membre de la Camorra napolitaine. Albert de Monaco observerait cette affaire de loin. Elle pourrait entacher l’image de la principauté.
France Dimanche avait déjà évoqué cette affaire l’an dernier.
Albert de Monaco était supposée piégé dans ‘la tour infernale’, et son rêve serait devenu un cauchemar.
‘Cette luxueuse tour de 170m de haut aurait dû être l’orgueil de la principauté de Monaco et de son souverain. Elle est entrain de devenir son cauchemar’, poursuivait la publication, en référence à la Tour Odéon dont le prix de vente serait estimé à 350 millions d’euros.
Certains spécialistes affirment qu’ils pourraient grimper jusqu’à… 500 millions.
France Dimanche expliquait qu’en plus de son image de citadelle pour ultrariches, cette tour se trouve au centre de critiques et suscite ‘beaucoup d’interrogations’.
‘Montage financier très complexe, soupçons de corruption, colère des riverains, logements publics non conformes aux attentes… la liste des doléances est longue dans cette opération immobilière hors normes’, est-il rappelé.
Pour France Dimanche, le mari de Charlène de Monaco doit, certains jours, ‘s’en mordre les doigts’ d’avoir ‘autorisé la construction de cette maudite tour’ qui entacherait l’image de la principauté.
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