En couple avec le producteur Dimitri Rassam, le petit Balthazar, Charlotte Casiraghi n’aurait pas croisé sa belle-mère, Carole Bouquet à Paris, à l’occasion du défilé Chanel.
Carole Bouquet se dévoile un peu dans les colonnes du magazine ’Elle’, où elle est question du temps qui passe, de la chirurgie esthétique, de son fils qui a produit le ’Petit Prince’, projeté lors du dernier festival Cannes.
À 57 ans, l’actrice explique cette semaine dans les colonnes du magazine féminin que même si la beauté est un cadeau, elle n’a jamais tenté de la préserver des signes du temps en recourant à la chirurgie esthétique.
’La chirurgie est un choix, mais ce n’est pas le mien’, confie-t-elle. ’Alors, je ne fais rien. Je ne fais rien et, du coup, quelle tête j’ai !’.
Carole Bouquet poursuit en parlant de ses larmes versées à Cannes, où elle s’est sentie « vieille ». Elle avait fondu en larmes lors de la présentation du film de son fils. « Je pleurais, je pleurais ?! (…) J’étais défaite, j’avais 300 ans ?! Non, ce qu’il faudrait, c’est que les réalisateurs osent me proposer des rôles de mon âge. »
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">24 Mai 2015
Si Carole Bouquet n’a pas peur de vieillir, c’est tout simplement parce qu’elle ne peut rien y faire.
Elle le confiait d’ailleurs au Figaro, en janvier dernier. « Aujourd’hui lorsque je me vois dans mes films, je me dis : bon… Merde, c’est comme ça. Je ne suis pas ravie de vieillir. J’aurais bien voulu arrêter le processus à 40 ans. », disait-elle.
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