Présentée comme la conseillère du Président de la république, Brigitte Macron devrait le pousser à écarter un ministre de renom, qui serait connu pour ses fêtes dantesques. Il s’agit d’une révélation de Marianne.
Brigitte et Emmanuel Macron seraient très proches du paparazzi qui « chopé » François Hollande sur son scooter, alors que celui-ci rendait visite à Julie Gayet dans son appartement parisien.
Le photographe, Sébastien Valiela, est en effet devenu très proche de leader d’En marche et de son épouse, comme le prouvent les images diffusées dans le cadre de Quotidien, l’émission de Yann Barthès sur TMC.
« Paul Larrouturou a paparazzé le paparazzi qui a chopé Hollande sur son scooter : il est devenu intime des Macron », est-il commenté.
">25 avril 2017.@PaulLarrouturou a paparazzé le paparazzi qui a chopé Hollande sur son scooter : il est devenu intime des Macron.
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Julie Gayet connaissait aussi, on le rappelle, très bien Sébastien Valiela, le paparazzi qui a immortalisé la photo du chef de l’état en scooter et casqué rendant visite à sa compagne.
Une photo dans laquelle, la comédienne prenait la pose avec le photographe et l’associé de celui-ci, Lorenzo viers, avait été dévoilée sur la Toile.
Pourtant dans son dossier de plainte déposée contre le photographe, Julie Gayet affirmait ne pas le connaître.
‘Le président du tribunal correctionnel de Nanterre avait un peu tiqué en découvrant le document : Ils ont l’air de se connaître. On dirait des copains dans une boîte de nuit’, rappelait Sébastien Valiela dans son livre ‘Paparazzo. Du scoop au secret d’Etat’, publié chez Michalon.
Sébastien Valiela a obtenu gain de cause dans l’affaire l’opposant à Julie Gayet qui l’avait accusé de l’avoir mise en danger.
‘Quand on lève un énorme lièvre comme le truc Hollande-Gayet, ça a des prolongements. Une quarantaine de couvertures de journaux ont suivi’, se réjouissait-il.
Il regrettait cependant, que suite au déballage sur la relation de François Hollande et Julie Gayet en janvier 2015, il ait été visé par ‘un contrôle fiscal’.
‘Des photographes américains m’ont dit que, chez eux, le président aurait démissionné et que j’aurais reçu le prix Pulitzer ! Ici, j’ai eu un contrôle fiscal et je suis inquiété par la justice pour d’autres clichés’, déplorait-il.
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