Arnaud Montebourg, figure marquante de l’aile gauche du Parti socialiste, s’est retrouvé au cœur d’une révélation surprenante ce jeudi 11 avril.
Deux jours après son échange musclé avec Laurence Ferrari lors du second débat de la primaire de la gauche, Arnaud Montebourg prétend ne pas avoir eu la journaliste dans son viseur.
L’ex ministre du redressement productif avait évoqué lors du débat de la primaire à gauche « le mur des puissants » devant lequel les politiques « se sont fracassés », en référence à Vincent Bolloré, patron du groupe Canal Plus.
« Il y a le propriétaire de votre chaîne, votre chaîne Mme Ferrari, qui est allé jusqu’à détruire son outil de travail pour empêcher le pluralisme ! », a dénoncé Arnaud Montebourg, avant de se lancer dans une longue tirade.
Laurence Ferrari n’a évidemment pas manqué de lui répondre.
« Quant à la chaîne que vous évoquez M. Montebourg, c’est à dire iTélé, elle est là et bien là et je la représente ce soir », lui a—t-elle lancé.
Interrogé à ce sujet par des journalistes en marge de sa rencontre avec des salariés de McDonald’s, mardi 17 janvier, Arnaud Montebourg a affirmé qu’il ne visait aucunement Laurence Ferrari.
« Je ne parlais pas de la chaîne, je parlais de son patron. Elle l’a pris pour elle. Mais je n’ai rien contre elle. Elle est plutôt sympathique la dame Ferrari", a ainsi expliqué le candidat à la primaire de la gauche, selon Le Lab d’Europe 1. "La dame Ferrari" appréciera
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